INFOS – On ferme pour mieux réouvrir

La chapelle se prépare à son repos estival.

La chapelle sera fermée à partir de lundi prochain 3 juillet jusqu’à fin aout (reprise officielle le dimanche 3 septembre. Occasion pour les habitués de redécouvrir d’autres communautés parisiennes ou dans les lieux de vacances.

Pour autant, la vie continue mais de manière un peu informelle. La prière du mardi matin et soir notamment continuera tant que possible. Et parfois, via des échanges de courriels et la disponibilité des uns et des autres, des célébrations peuvent s’envisager de manière spontanée.

Merci de penser aussi à nos amis qui vivent le temps de la maladie ou de la solitude chez eux. Un petit mot, un appel téléphonique, une visite peuvent faire tant de bien. On peut aussi, grâce au trombinoscope, penser à inviter des personnes seules ou célibataires de la communauté pour un temps de vacances partagées.

Certains d’entre nous vont se retrouver du 5 au 10 juillet à St Jacut pour une retraite spi sur le thème « La prière, la grande affaire ». D’autres encore à Lourdes du 12 au 16 août pour le Pèlerinage national. Il reste de la place : n’hésitez pas à découvrir ces belles rencontres…

Occasion aussi de préparer déjà l’automne avec le grand mois de prière pour la Création. Un programme de prières, de visites de rencontres est en train de s’ébaucher. Partagez nous vos envies !!

DU NOUVEAU – Les saints sièges ont la parole

Vous le savez peut être : pour des raisons de sécurité nous devons changer les chaises de la chapelle. Elles seront remplacées très prochainement par des nouvelles qui peuvent faciler s’empiler et aussi s’accrocher ensemble pour les concerts

Les anciennes chaises, saints sièges vénérables qui nous ont supporté si longtemps, vont revivre ailleurs puisque les amis de l’APA sont heureux de les adopter pour leurs propres réunions ! Joie de l’économie (du salut) circulaire !

Pour accompagner ce mouvement, nous vous proposons de leur faire une surprise : inscrire sous le siège, au marqueur, des citations, des proverbes, des vers de votre choix !! Merci de venir donc dimanche à la messe avec vos phrases préférées. Vous pouvez aussi les envoyer sur ce blog en commentaire de cet article.

RENCONTRE – Une journée au vert qui fait merveille

La journée au vert de ND des Anges arrive à grands pas ! –

QUOI : Une journée au vert pour se reposer dans la nature, se rencontrer, passer de bons moments simples :

QUAND : Le samedi 24 juin prochain, entre 10h30 et 18h00 environ.

: Dans une ancienne abbaye bénédictine à Saint-Lambert-des-Bois (vallée de Chevreuse-78), chez les Assomptionnistes. Accès RER B – arrêt « Saint-Rémy lès Chevreuse », puis marche, ou vélo ou bien covoiturage avec l’aide de l’équipe organisatrice. Pour ceux qui viennent en voiture, bien préciser « Chapelle du Prieuré Saint Benoît » sur votre GPS/navigateur.

QUI : Les amis de la Chapelle Notre-Dame-des-Anges. Et les amis des amis

ON MANGE QUOI ? Ce que chacun ramènera. L’équipe Eglise verte de la chapelle propose de le vivre avec une certaine cohérence Laudato si : attention à l’origine géographique des produits, plats industriels, suremballage… autant d’habitudes alimentaires qui ont un impact très fort sur l’environnement. Éviter les bouteilles en plastiques, briquettes et canettes. Favoriser les contenants réutilisables. Penser à l’eau du robinet, potable et économique. Remplacer les jus de fruit et sodas par des sirops artisanaux en bouteilles de verre. Pour le plat salé ou sucré, privilégier le fait maison et à partager, si possible avec des ingrédients locaux et/ou issus de l’agriculture biologique.

ON FAIT QUOI ? L’après midi des ateliers sont prévus. Certains sont déjà programmés. D’autres peuvent être improvisés sur place avec ce que chacun propose.

POUR S’INSCRIRE Lien du Questionnaire.  

POUR S’Y RENDRE

C’est mieux de se regrouper pour commencer la journée ensemble déjà en chemin

EN VOITURE
Des covoiturages s’organisent (avec ceux qui ont de la place et ceux qui cherchent une place). Contact : pauline.pannier (arobase) gmail.com

TRANSPORTS EN COMMUN.

RV au RER B à Denfert-Rochereau sur le quai (dir. St Rémy les Chevreuses, donc plein sud) au plus tard vers 8 h 50. Le train sera celui de 9 h 01. Des « gilets oranges » de la chapelle vous attendront sur le quai ! Certains emmèneront leur vélo dans le train, d’autres leurs chaussures de marches, d’autres attendront à St Rémy qu’on vienne les chercher.

Pour rappel, il y a 5 moyens de venir :

* RER + bus + petite marche (30min de marche environ). Pour mémoire, il faut prendre le bus 39-17 direction Gare de La Verrière à prendre à la gare de St Rémy à 9h46 ou 10h16, descendre à l’arrêt Trottigny, puis marche 30min, carte en PJ

* RER + grande marche (1h20 environ) via le beau chateau de Chevreuse !

* RER + vélo (30min) : c’est Gabrielle (gabrielle.pollet(arobase)lilo.org) qui rassemble les cyclistes dans le train RER de 9 h 01

* covoiturage depuis la gare de Saint-Rémy les Chevreuse : nous organiserons des aller-retours en voiture pour tous ceux qui ne peuvent pas marcher. C’est Naoki qui supervise. (naoki.kawada(arobase)gadz.org)

A LIRE – Des propositions pour avancer

Plusieurs personnes de la chapelle ont apprécié ce texte de l’amie Marie Claire, thérapeute et voisine de la chapelle, qui a participé au groupe de travail de la CIASE. On fait donc suivre

C’est en novembre 2021 que l’Assemblée Plénière des évêques a mis en place 9 groupes de travail dont les propositions ont été présentées pour décision à l’Assemblée de mars 2023. Une longue élaboration et un témoignage précieux de Marie-Claire Bruley

Les groupes voulus par le Conseil des évêques de France au lendemain du rapport Sauvé sur les violences sexuelles dans l’Église étaient au nombre de 9, chacun mandaté autour d’une thématique particulière. Cette liste illustre l’éventail du travail de ce collectif : Partage des bonnes pratiques autour des cas signalés, / Confession et accompagnement spirituel, / Accompagnement des prêtres, religieux, religieuses mis en cause, / Discernement vocationnel et formation des futurs prêtres, / Accompagnement du ministère des évêques, / Accompagnement du ministère des prêtres, / Manière d’associer les fidèles laïcs aux travaux de la Conférence des évêques de France, / Analyse des causes des violences sexuelles dans l’Église, / Moyens de vigilance et de contrôle sur les associations de fidèles.

Ces travaux dépassaient donc la simple problématique des violences sexuelles dans l’Église pour englober dans le même mouvement les questions de gouvernance. Sollicitée en tant que thérapeute recevant prêtres, religieux et religieuses par un groupe qui se constituait sans encore de référence psychanalytique, j’ai rejoint le groupe « Accompagnement du ministère de l’évêque ». Mon trouble a été grand lorsque j’ai réalisé que je n’avais sans doute encore jamais adressé la parole à un évêque, mais j’étais embarquée … Les groupes, composés de personnes de sensibilités religieuses variées, laïcs, diacres, prêtres, évêques, personnes consacrées, ainsi que de victimes, présentaient un éventail socio- professionnel très large, voulu et sélectionné par les pilotes en fonction de la problématique abordée. L’ensemble était piloté par Hervé Balladur, placé sous la responsabilité du Secrétaire général de la Conférence des évêques, Monseigneur de Moulins-Beaufort. La date limite de tous ces travaux était celle de l’assemblée plénière des évêques de mars 2023, ce qui donnait un peu plus de 12 mois pour un travail dont la densité s’est accrue au fil des mois. La consigne reçue au tout début était de rencontrer et d’interviewer des personnes impliquées dans la thématique concernée. Notre groupe a sélectionné aussi bien des évêques, des prieurs généraux de communautés monastiques masculines souvent accompagnateurs des évêques, que des laïcs impliqués dans la lutte contre la pédophilie dans l’Église, dont plusieurs psychiatres et psychologues, coaches ou thérapeutes, sans oublier Jean-Marc Sauvé à deux reprises, ainsi que le Nonce. Nous sommes allés les rencontrer par binômes et rédigions ensuite un compte-rendu détaillé mis à la disposition des autres membres.

Cette somme de nos écrits, nourrie de l’expérience de nos interlocuteurs, a constitué notre première base de réflexion commune : nous avons ainsi commencé à percevoir les souffrances des clercs tout comme les failles et les incohérences de gouvernance. Parallèlement nous avions élaboré un questionnaire complet et précis, touchant à la mission aussi bien qu’aux rythmes de vie, aux gratifications, difficultés et regrets des évêques. Ce questionnaire confié au plus expert d’entre nous pour la présentation des questions, fut alors envoyé à tous les évêques de France : leurs réponses (48 %) fut une autre base riche et éloquente. Interroger, croiser les informations, démêler les contradictions, affiner notre réflexion, écrire et soumettre ces écrits au reste du groupe puis en débattre, rencontrer d’autres groupes dont la thématique croisait la nôtre, fut notre travail durant un an. Ce travail fut mené très en lien avec Hervé Balladur, celui-ci réunissait régulièrement les pilotes, fit avec eux un travail d’orfèvre pour coordonner, assembler, donner cohérence à des textes qui, par la nature de la mission, étaient fort différents.

Le résultat fut un document de 250 pages, abouti dans la forme comme dans le fond, dont nous espérons qu’il constituera un document de travail et de référence pour les évêques.

À travers les outils mis en place, qu’ai-je découvert ?

De mes rencontres en binôme, notamment auprès de psychothérapeutes et psychiatres travaillant auprès des victimes et auteurs d’abus dans l’Église, j’ai pu entendre, souligné par chacun, un grave problème de communication au sein des diocèses, se traduisant par la souffrance importante des prêtres aujourd’hui. Peu ou mal reliés, pour un grand nombre, à leur hiérarchie, ils vivent une solitude mortifère dans des contacts avec leur évêque trop peu nombreux ou insuffisamment constructifs et chaleureux. Certains se sentent abandonnés, esseulés, peu considérés et perdent peu à peu toute assurance et estime d’eux-mêmes et de leur mission. Leur appartenance aujourd’hui à une Église qui se défait ajoute bien sûr encore à leur malaise. Et comment pourrait-il en être autrement avec un tel déficit en communication ? Aider les évêques à restaurer cette relation, dans une fluidité qui puisse courir de bas en haut et de haut en bas, est apparu comme le pilier central nécessaire par lequel l’Église pourra retrouver une certaine assise et un tissu relationnel vivant. Convaincus que l’évêque doit s’employer en priorité à faciliter la communication dans son presbyterium, tout autant avec les évêques auxiliaires qu’avec les laïcs travaillant dans son diocèse, nous souhaitions les aider à recréer une culture institutionnelle où la confiance, le plaisir du partage et l’entraide soient l’ADN du travail de chacun. Pourquoi cette plainte des prêtres trop souvent entendue qu’il n’existe aucune fraternité entre eux ?

Nos propositions auprès des évêques

  • Une première priorité nous est apparue, celle d’alléger l’emploi du temps des évêques, la plupart du temps trop chargé, en déléguant la gestion économique du diocèse, les fonctions de DRH, les domaines d’expertise financière, juridique et immobilière à des experts laïcs, hommes et femmes, pour qu’ils puissent revenir à la source et se consacrer aux priorités définies par Vatican II à travers Lumen Gentium.
  • La question de l’évaluation des évêques fut également prioritaire : pourquoi donc jusqu’ici n‘avaient-ils eu à rendre de comptes à personne alors que leurs responsabilités s’avèrent lourdes parfois et trop multiples toujours ?
  • Celle de l’accompagnement fut une autre question délicate : pour faire face à leur immense responsabilité d’accompagnement, accepteraient-ils de se faire eux-mêmes accompagner par un professionnel en relations humaines, pour travailler leur écoute, leurs points aveugles, leur vulnérabilité, reconnue comme une dimension essentielle pour rejoindre leurs frères en tant que pasteur ?
  • Nous leur avons soumis en ce sens des propositions de formation, les premières regroupées en un ensemble pour les cinq premières années d’épiscopat, les autres étant ensuite laissées à leur choix.
  • Nous avons préconisé une visite régulière des évêques par une équipe composée de deux personnes ou plus, évêques extérieurs à la province, laïcs ou religieux, hommes et femmes, afin de questionner, soutenir et améliorer leur mission épiscopale et ainsi la vie du diocèse.

Il ne s’agit pas ici de lister nos dix préconisations soumises au vote des évêques mais bien plus d’insister sur l’esprit dans lequel nous les avons formulées. Pour éviter de susciter toute réaction de défense, nous nous sommes exprimés avec chaleur et empathie, notre objectif étant de leur apporter une aide extérieure sans prétendre à un quelconque jugement. Et cependant, la finalité de notre écrit a bien été de leur signifier fermement qu’il est de leur responsabilité morale, déontologique et spirituelle de sortir de l’entre-soi, de s’entourer et de s’ouvrir à des personnes hors l’Église, pour entrer plus largement dans une culture du débat et d’un éclairage mutuel.

L’assemblée plénière des évêques à Lourdes, fin mars 2023

Les conclusions des neuf groupes, rassemblées en un rapport de 250 pages, furent adressées aux évêques 15 jours avant le début de cette assemblée. S’ensuivirent deux journées intenses de rencontres, d’échanges, de conversations interpersonnelles ou par petites tables rondes, stratégie pédagogique très habilement construite par Hervé Balladur pour en faire autant de moments de débats vivants et conviviaux.
Les évêques circulaient à leur gré dans les espaces dédiés à chaque groupe, nos panneaux leur indiquant nos axes essentiels de pensée, aboutissent aux préconisations soumises à leur vote. Des échanges animés purent naître entre nous autour de ces panneaux sur lesquels ils indiquaient leur niveau d’approbation par des gommettes vertes, oranges ou rouges.
Leurs réactions nous ont permis de remanier ensuite notre texte pour supprimer toute ambiguïté ou malentendu. L’ensemble des votes fut très majoritairement « vert » et c’est satisfaits et l’esprit léger que nous avons quitté Lourdes.

Quelle ne fut pas notre surprise et notre déception en apprenant par la suite
le résultat du vote montrant peu de réponses positives à nos propositions,
révélant donc des réticences au changement que nous n’avions pas perçues
à un tel degré lorsque nous étions réunis.

Qu’en penser ?

Les évêques ont manifestement apprécié ces deux longues journées de vie ensemble et de partage, et leurs réactions sur le vif à nos propositions ont été sans doute colorées par l’atmosphère amicale et de détente qui régnait. Une fois les membres des groupes de travail partis de Lourdes, ils se sont retrouvés seuls dans leur hémicycle, dans leurs habitudes et leur manière de penser. La méfiance, la suspicion, les réticences fortes à des propositions externes, la peur d’une intrusion des laïcs dans le gouvernement de l’Église ont pris le dessus … de façon toute systémique.
Cette analyse fort décourageante, je le reconnais, ne doit pas être pourtant le dernier mot.
Au travers des réponses reçues au questionnaire, de nos interviews et de nos partages à Lourdes, nous avons pu découvrir quelques évêques moteurs, audacieux et décidés d’aller de l’avant.
Ainsi par exemple, la question de la place des femmes à des postes de responsabilité semble désormais acquise chez un grand nombre d’entre eux. Certains les ont introduites dans leur conseil épiscopal, l’organe du gouvernement. Ceci peut paraître minime mais est signe que les mentalités changent. Quelques-uns avaient déjà mis en place certaines de nos propositions pourtant refusées par le vote.

Nous pensions que des changements pourraient s’opérer rapidement, c’était une illusion, mais après tout Vatican II est un exemple de mouvement rapide dans l’Église. Nous savons désormais qu’une évolution se fera mais sur un temps long, très long. Loin de nous décourager, ce vote décevant peut être aussi l’aiguillon qui nous pousse à demeurer actif et pionnier dans l’Église.
Pour ma part, la rencontre récente avec deux prêtres encore jeunes et fortement désireux de changements profonds dans l’Église, lucides face à l’immobilisme de leurs évêques, est mon aiguillon personnel : ils ont besoin des laïcs pour travailler à leurs côtés.

Marie-Claire Bruley

SOLIDARITÉ – 50 ans d’amitié

Olivier et Florence, très engagée dans un travail associatif avec des partenaires du Bengladesh nous invitent.

En partenariat avec Emmaus International et le Secours populaire français, nous vous convions à une rencontre franco bengali pour célébrer 50 ans de fraternité entre notre association française et l’ONG GK au Bangladesh. Nous nous réjouissons de partager ce moment avec vous. L’abbé Pierre a été 50 ans durant l’alter ego du fondateur récemment décédé de GHK, le Dr Zarullah Chowdhury.

F & O Mesnil 

APPEL – Des volontaires en Terre sainte

Une info qui vient du réseau de la DCC qui recherche d’urgence des volontaires pour des missions en Israël…

Au passage, la communauté assomptionniste, à Jérusalem, peut aussi accueillir des volontaires pour des séjours d’aide à l’accueil sur le site.

Voici les demandes de la DCC

  • Les archives du Patriarcat latin recherchent leur archiviste

Les Archives historiques du Patriarcat latin de Jérusalem sont la mémoire du diocèse et des paroisses palestiniennes depuis le rétablissement du Patriarcat en 1847. Dans le cadre d’un ambitieux projet de numérisation et de déplacement futur des archives, le bureau dirigé par le père Aziz Halaweh recherche son volontaire pour une durée d’un an à compter de septembre (statut de Volontaire de Solidarité international avec la DCC) afin d’aider à catégoriser et classer les documents et les photos, mettre en place des mesures de conservation, contribuer à la valorisation du fonds documentaire, développer et suivre les partenariats en cours.

Profil : historien ou passionné d’histoire, méticuleux et organisé, maîtrise d’au moins deux langues : français, arabe, anglais, italien, capable de travailler efficacement à la fois de manière indépendante et au sein d’une équipe.

Contact et candidature : https://ladcc.org/deposer-sa-candidature/

  • La maison de retraite de Taybeh a besoin d’un professionnel de la motricité

La maison de retraite de Taybeh confiée aux Sœurs du Verbe incarné accueille une vingtaine de résidents chrétiens. Depuis de nombreuses années, la Délégation catholique pour la coopération envoie des volontaires en renfort des soins prodigués aux personnes âgées mais aussi en faveur de l’animation de la maison. Logé(e) juste en face de l’EPHAD, le/la volontaire spécialiste de la motricité (kiné, psychomotricien etc.) est force de proposition pour développer des activités et des soins. Il/elle est accueilli(e) au sein du village et découvre la vie du dernier village chrétien de Palestine. Une expérience unique avec un contrat de solidarité internationale !

Information sur le projet :https://www.lpj.org/fr/posts/taybeh-la-nouvelle-mission-des-soeurs-du-verbe-incarne-a-la-maison-de-retraite-de-beit-afram.html

Profil : de formation kinésithérapeute ou psychomotricien, maîtrise de l’anglais ou de l’espagnol

Contact et candidature : https://ladcc.org/deposer-sa-candidature/

  • Les écoles chrétiennes de Palestine cherchent des assistants de langue française

Bethléem, Taybeh, Jérusalem ? Envie de partir une année en Terre Sainte pour vivre au plus près des populations ? De mettre tes compétences d’animation au service de la langue française ? De travailler aux côtés d’enseignants palestiniens dans un esprit de solidarité et de service ? Une mission d’un an t’attend dans les écoles chrétiennes de Terre Sainte. Plus d’informations sur la mission : https://ladcc.org/volontariat-en-terre-sainte/

Profil : enseignant ou expérience en animation, scoutisme, BAFA

Contact et candidature :  https://ladcc.org/deposer-sa-candidature/

Petite vidéo sur Instagram : https://www.instagram.com/reel/CpdmLMTsIE3/?igshid=MTc4MmM1YmI2Ng==